Entrainement de Tsurugi

Technique :
Katon Goukakyuu no Jutsu
(Technique de la Boule de Feu, l\'utilisateur crée une énorme boule de feu en gonflant ses poumons de chakra et l\'expire sous forme de feu)


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Tsurugi laissa tomber son sac à dos sur le sol poussiéreux de la zone d\'entrainement du village de Suna. C\'était la première fois qu\'il y mettait les pieds en tant que ninja du village et cela lui fit tout drôle de sentir de nouveau le bandeau frontal de Suna qu\'il avait admirait chez ses parents, enviait chez ses ainés et pour lequel il avait dû batailler durant de longues années afin de décrocher enfin son diplôme de ninja.
Il songeait à son voyage vers le village caché de Konoha.

Je vais devoir traverser le désert de Suna pour ma prochaine mission, songeait Tsurugi en fixant le ciel clair. Je dois me munir d\'une technique offensive juste au cas où...
Il avait entendu parlé d\'une technique katon nommée Technique de la Boule de Feu par l\'un des professeurs de l\'académie ninja. Il décida de s\'y entrainer afin de parfaitement la maitriser et d\'acquérir ainsi sa première technique katon.
Il se concentra, malaxa son chakra, composa rapidement les signes incantatoires, injecta le chakra dans ses poumons, bloqua et l\'expira de toutes ses forces.
Une misérable boule de feu s\'échappa de sa bouche et éclaira brièvement la plaine où se tenait Tsurugi. Le ninja fut si surpris par la faible puissance de sa technique qu\'il en resta bouche bée durant quelques secondes.
-Si peu de puissance alors que j\'ai eus l\'impression de me brûler les poumons... soupira t\'il presque découragé. Je dois stocker le plus de chakra possible dans mes poumons et surtout ne pas tout brûler en quelques secondes.

Il recommença, inlassable, la même succession de mouvements et d\'actions jusqu\'à tomber d\'épuisement, les lèvres brûlées et la poitrine en feu. Tout son système véhiculant le chakra le faisait souffrir, mais il avait réussi : il avait appris à maitriser son flux d\'évacuation de tout chakra qu\'il avait stocké dans ses poumons.
Il parvenait à présent à produire une boule de feu d\'un rayon égal à sa taille, ce qui l\'impressionnait déjà suffisamment. Cependant, il savait pertinemment qu\'il existait des techniques katon bien supérieure à celle qui venait de maitriser et qu\'un jour il lui faudrait les apprendre à son tour.

Se levant péniblement, il ramassa son sac à dos et quitta le terrain d\'entrainement.
Au lit, toi. Tu as besoin d\'une bonne nuit de sommeil : demain, tu te lève tôt pour ta mission, car tu pars pour Konoha!!!

Technique : Senen Goroshi
(Technique très simpliste qui consiste à apparaitre derrière l'adversaire après une esquive et lui met un coup bien placé)


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Il avait entendu parler de cette technique loufoque : le Senen Goroshi, les 100 ans de souffrance.
C'était une technique qu'avait utilisé un ninja de Konoha, Naruto Uzumaki il lui semblait, sur Gaara lors de l'incident de l'examen chuunin quelques années auparavant. On racontait que ce serait Kakashi Hatake lui-même, le ninja copieur et le fils du Croc-Blanc de Konoha, qui l'a lui aurait enseigné.

Comme il ne pouvait s'entrainer sur une personne physique réelle, Tsurugi avait acquis une petit mannequin qu'il plaça au milieu du terrain d'entrainement.
Il entreprit d'abord de répéter lentement tout les mouvements qu'il avait recueilli pour exécuter la technique. Il comprit rapidement que la clé était la vitesse d'exécution : il fallait détourner l'attention de l'adversaire, puis le contourner le plus rapidement possible afin de le surprendre.
Le seul point qui gênait légèrement Tsurugi était d'être obligé de planter deux doigts dans le postérieur d'un adversaire afin de pouvoir exécuter cette technique.

Ses premiers essais se révélèrent calamiteux et extrêmement douloureux pour ses doigts : il voulait mettre trop de force et finissait par se tordre les phalanges. En plus, le tissu d'un pantin ne se comporte pas comme la peau d'un individu : force et précision, cette technique requérait plus de doigté et de maitrise de son corps que Tsurugi l'avait pensé au premier abord.
En plus, il n'arrivait pas à projeter son pantin comme on lui avait raconté le vol plané qu'avait exécuté le fameux Naruto le jour où Kakashi-san avait exécuté le Senen Goroshi à ses dépens. On racontait que le pauvre n'avait pas pu s'asseoir durant plusieurs jours tellement son postérieur le faisait souffrir, chose que Tsurugi comprenait parfaitement.

A force d'efforts et de sueur, Tsurugi finit par atteindre des résultats assez satisfaisants en fin de journée : son pantin volait à présent sur plus de 200 mètres avant d'entamer une magnifique descente en vol plané.
Il n'osait même pas imaginé la douleur du shinobi qui devait subir cette technique... A condition que le ninja en question, ce laisse distraire, ce qui semblait très dur avec un chuunin ou jounin. Mais, Tsurugi trouvait cette technique amusante sur d'autre gennins ou des civils.
Avec un sourire d'amusement, il attrapa le mannequin, qui avait le postérieur complètement défoncé à force d'encaisser les assauts de Tsurugi, et quitta la zone d'entrainement.

No problem, je sais que tu es très pris en tant qu'admin.
Je comprend, ne t'inquiète pas.
En tout cas, merci pour la validation.

Technique :
Suimen Hokou no Gyou
[Art de marcher sur l'eau]


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Tsurugi regardait pensivement le ruisseau qui coulait paresseusement le long du terrain d'entrainement.
Si il est possible de marcher sur les solides par la force du chakra, on doit pouvoir faire de même avec les liquides.
Il commença par concentrer son chakra comme il l'avait si souvent fait pour marcher sur un mur, un arbre ou tout autre solide rencontré dans le village ou lors d'une de ses missions.
Cependant, lorsqu'il tenta de progresser sur l'eau, ses pieds s'enfoncèrent largement dans le cours d'eau, il perdit l'équilibre et tomba à l'eau en soulevant une belle gerbe.
Tsurugi se releva en crachant l'eau qui était rentrée par sa bouche et ses narines. Il regagna la rive péniblement et se laissa tomber sur le dos pour réfléchir à ce qui s'était passé.
L'eau n'est pas aussi stable qu'un solide, résonna-t-il. Par conséquent, il ne me faut plus dégager une dose de chakra dans une partie de mon corps, mais veiller surtout à dégager la même quantité d'énergie durant tout le temps de l'exercice.

Il réalisa que l'apprentissage de cette technique n'était qu'un prolongement de l'apprentissage du Konobori, l’art de grimper aux arbres, et que rassemblait ses bases et ajouter une difficulté supplémentaire de perfectionnement des techniques ninjas.
Rien que de maintenir une dose constante de chakra durant quelques dizaines de secondes demanda à Tsurugi une concentration et une énergie incroyable, mais au coucher du soleil il parvenait à peu près à rester stable sur le ruisseau.
Il alla se restaurer rapidement dans l'un des restaurants de grillade du village, puis retourna au terrain d'entrainement : il voulait absolument maitriser cette technique le plus rapidement possible pour étoffer sa panoplie de shinobi et pouvoir assurer ses missions dans les meilleures conditions possibles.

Il marchait parfaitement sur l'eau le lendemain matin. L'élément liquide n'était plus un obstacle pour lui et il éprouva une bouffée de fierté d'avoir réussi son apprentissage.
Il s'apprêtait à quitter le terrain d'entrainement lorsqu'il vit arrivait un autre gennin du village :
"Tsurugi ! Kazekage-sama a convoqué tout les ninjas du village dans son bureau.
-Que se passe-t-il ? demanda Tsurugi.
-Aucune idée. Mais, tu ferais mieux de te dépécher."
Tsurugi acquiesça de la tête, rassembla ses affaires et se dirigea vers le village.

entrainement au XP :

Toute personne étrangère à l'univers de Tsurugi ne pouvait comprendre ce que représentaient pour lui les tachis et les katanas, les deux épées en circulation. Les kunaïs et autres sais n'avaient jamais attiré le ninja durant sa formation ; d'une part parce qu'il considéraient ces armes comme trop courte, d'autre part parce que ces armes pouvaient être utilisées comme arme de lancer et que Tsurugi préférait le corps-à-corps au combat à distance.
Etrangement, il avait toujours eu une attirance pour le hankyu, l'arc court qu'utilisaient certains militaires du pays du vent. Mais, Tsurugi considérait plus le tir à l'arc comme un passe-temps lui permettant de renforcer sa musculature et sa concentration. Le ninja était quasiment imperturbable lorsqu'il venait tirer quelques flèches sur un des champs de tir du village.

Les exercices au tachi qu'il pratiquait à l'extérieur du village, c'était son père qui les lui avaient directement appris alors qu'il suivait déjà des cours à l'académie ninja. La pratique du tachi et du katana était une tradition ancestrale dans la famille kyûryû et Tsurugi avait hérité la puissance de l'attaque de son père ainsi que la grâce des mouvements de sa mère.
Malheureusement, ses parents n'avaient pas pu lui transmettre tous les secrets des techniques de la famille, mais Tsurugi était persuadé de trouver un jour un membre de sa famille, quelque part, qui pourrait alors achever sa formation en lui enseignant les techniques et enchainements ultime. Mais, à ce jour, toutes les recherches qu'il avait pu entreprendre c'étaient soldées par un bide total et lamentable.

Un jour... Un jour, il compléterait son style, obtiendrez la puissance qui lui manquer, partirait à la recherche des membres de l'Akatsuki et les tuerez un par un jusqu'à ce qu'il trouve celui qui avait tué ses parents. Il l'achèverez alors dans d'atroces souffrances pour exorcisez sa rage.
Pour accomplir sa revanche, il était même disposé, en ultime recours, à pactiser avec Orochimaru en personne. Mais, il y avait bien d'autres moyens d'arriver à ses fins avant d'en arriver à cette désastreuse éventualité...

Technique :
Katon Housenka no Jutsu
(Technique des pétales de feu, l'utilisateur crée plusieurs pétales de feu et les envoie dans des directions choisies)


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Tsurugi maitrisait déjà la technique de la boule de feu, il voulait à présent apprendre une autre technique qui l'avait beaucoup impressionné lorsqu'il était gamin : la technique des pétales de feu.
Cette technique consistait à créer plusieurs boules de feu mineures à une cadence assez rapprochée et de les expédier dans plusieurs directions pour piéger l'ennemi et le neutraliser. L'adversaire perdait rapidement tout ses moyens si il s'agissait d'un ninja peu expérimenté ou un peu à la ramasse et il était alors aisé pour l'utilisateur du jutsu de le neutraliser.

Tsurugi commença par s'entrainer à créer plusieurs petites boules de feu à la suite qu'il lançait dans la même direction, la seule chose qu'il réussit dans un premier temps fut de se brûler sérieusement la bouche et les joues : les boules de feu s'accumulaient et Tsurugi ne parvenait pas à les expédier assez vite.
Il doit exister un moyen... Le feu doit partir rapidement et ne pas stagner.
Il comprit alors pourquoi cette technique avait été développée pour lancer des projectiles enflammées dans plusieurs directions : les boules se succédaient, mais ne se heurtaient pas les unes aux autres puisqu'elles étaient expédiées dans divers trajectoires.
Tsurugi se remit donc debout, recommença à malaxer son chakra et généra ses pétales de feu qu'il tenta d'expédier dans plusieurs directions et il réussit ce coup-ci à limiter les brulures... Mais, il ne maitrisait en rien la direction que prenait ses projectiles.
Il entreprit donc de se fixer une cible qu'il imagina se déplaçant et lui expédia ses pétales de feu d'abord rectilignement, puis en cercle et enfin suivant sa propre impulsion comme si sa cible se déplaçait de manière anarchique.

En fin de journée, Tsurugi était capable de faire n'importe quel mouvement et d'exécuter sa technique en neutralisant n'importe quelle cible qu'il souhaitait atteindre.
Il ramassa donc ses affaires satisfait et sortit du terrain d'entrainement.

Technique :
Kage buyou
(Cette attaque consiste à se retrouver derrière la cible en plein vol, technique très utile pour surprendre l'adversaire.)


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Le soleil était magnifique sur Suna ce jour-là... Magnifique, mais écrasant... Tsurugi venait de finir sa dernière mission et il se rendait au terrain d'entrainement afin d'assimiler une nouvelle technique de Taïjustu dont il avait entendu parler : le Kage buyou.
Il se rendait bien compte qu'il lui manquait un peu d'étoffe dans sa spécialité de combat et qu'il était grand temps de remédier à se problème : combattre un ennemi que l'on ne pouvait dignement tabasser ne présenter que peu d'intérêt pour Tsurugi. Le combat au corps-à-corps renforcer le corps tout en maintenant l'esprit alerte.

La nouvelle technique qu'il souhaitait intégrer à son répertoire reprenait quelques bases dans sa précédentes technique taijustu, le délirant Senen Goroshi, en demandant une grande vitesse de déplacement et d'exécution : il s'agissait en faite de se rapprocher de l'adversaire de l'expédier en l'air d'un puissant coup de pied, de sauter en l'ai et de se retrouver dans son dos. On avait alors l'impression de voir deux feuilles de cerisier flottant dans le vent.

Tsurugi avait apporté une grosse souche avec lui pour cette entrainement, il l'avait trimbalé à travers tout le village. Les villageois s'arrêtaient pour le regarder, quelques-uns le montrait même du doigt... Probablement se demandaient-ils si le jeune shinobi n'avait pas perdu la raison.
En réalité, Tsurugi avait une idée précise derrière la tête : pour apprendre une technique de corps-à-corps, il fallait un cobaye ; or si un mannequin était parfait pour le Senen Goroshi, le bois gardait les traces de l'intensité des coups de pieds et de poings ce qui permettrait à Tsurugi de pouvoir doser la force de ses impacts avec précision.

Il plaça donc la souche en plein milieu d'une zone peu fréquentée du terrain d'entrainement et commença par donner une trajectoire curviligne à la souche par la seule force d'un cou de pied. Lorsqu'il fut satisfait du résultat, il tenta de se projeter en l'ai et de flotter en-dessous de la bûche et là les choses se corsèrent légèrement : Tsurugi mit un certain temps à trouver le bon tempo et se prit nombre de fois la bûche en pleine figure en retombant au sol.
Mais, après pas mal de bleus et de bosses, il enchainait les mouvements avec une fluidité et une vitesse satisfaisante. Il lui manquait que quelque perfectionnement et il serait fait prêt, mais il maitrisait la technique.